Le Mönch et l’Observatoire du Sphinx
Gardiens du Ciel
À propos de l'oeuvre
Je me souviens de cet instant suspendu. La tempête venait à peine de s’éteindre. Le vent, encore vif, portait les derniers flocons dans les airs. Puis, la lumière s’est posée sur la montagne, douce et tranchante à la fois. Le Mönch renaissait.
Voyez comme l’Observatoire du Sphinx paraît minuscule face à la grandeur du Mönch. Dans ce contraste, jaillit en nous une émotion : la rencontre entre la démesure des Alpes et la petitesse des hommes. Ici, tout semble silencieux, figé, presque sacré. Seule la neige raconte encore la lutte des vents, la trace du froid, le souffle de la nuit.
J’aime cette lumière qui caresse la montagne comme on caresse un visage aimé. J’aime la verticalité du Mönch, sa noblesse. J’aime ce dialogue immémorial entre la science et la nature, entre l’homme et le divin. À plus de 4 000 mètres d’altitude, le monde s’efface, le cœur s’élève. Et dans ce ballet d’ombre et de lumière, je retrouve la raison même de mon art : préserver la beauté des sommets, pour qu’ils continuent de nous rappeler ce qu’est la grandeur.

Détails & Personnalisation de l’Œuvre


Tirage d'art

Édition Limitée

Certificat et Signature
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